Photographe de Prises de Vie
Photographe, Passionnément...
PHOTOGRAPHIER
Des émotions qui enrichissent la vie.
Partager pour se rassurer, se convaincre face à ses fragilités,
Partager pour témoigner des merveilleux moments d'être vivant.
Quand on sent, écoute, goûte et touche, quand on rencontre et s'enrichit.
Et toujours envie d'être .
PHOTOGRAPHIER
Pour ne rien manquer et ne rien perdre, jamais de sa vie.
Je suis issu d’un Pays riche par sa diversité, aux confins du Périgord, du Limousin et de l’Angoumois.
Il est de calcaire, d’argile ou de granit, il est de haies, d’étangs de rivières et de ruisseaux, de collines, de plaines et de forêt en quelques dizaines de kilomètres. Il émerveille.
Une langue commune, l'Occitan, ce patois limousin fleuri et chaleureux.
Les émotions sont au bord des chemins et aux détours des villages, dans les mains et sur les visages.
Je capture ces instants.
A l’incessante rencontre de la vie telle qu’elle est vraiment, j’ai aimé la nature, le patrimoine bâti qui laisse une trace tactile, les savoir-faire embarquant vers les savoir-vivre.
La richesse de chacun, voilà la véritable émotion, voilà la culture sociale éminente avec ses différences.
Les belles découvertes existent toujours, je les multiplie.
Le récit photographique me passionne.
La lecture du cliché, cet l’instant où l’imagination crée tout un monde, c’est sa liberté née de son intime préférence. C’est un espace de bonheur et de profondeur absolu.
Des mains usées de travail, des rides qui ont sué sang et eau, des échines qui ont bravé le temps et l'angoisse, des plis qui ont pleuré ou tant aimé.
Encore la vérité de ceux qui ont sillonné la terre pour en tirer leur substance, je témoigne.
Chacun porte son histoire, les valeurs existent vraiment quand elles sont partagées et transmises.
Jean-Christophe Laforge
"Prises de Vie".
Le récit photographique, la lecture d’un cliché avec des mains qui ont travaillé, des rides qui ont transpiré, encore des yeux qui ont pleuré ou tant aimé, des échines qui ont bravé le temps et les inquiétudes.
En somme la vérité des « gens de terroir », ceux qui sillonnent la terre pour en tirer la substance, toute la simplicité, la faconde qui les accompagnent.
Je suis issu de familles qui pour l’une travaillait la terre, et pour l’autre travaillait le bois, je me souviens du courage qui y était attaché, du labeur qui en découlait. C’est un profond respect que je ressens à cet égard, de la fierté d’avoir reçu ces valeurs.
Chacun porte son histoire d’homme.
Une vie simple passée dans le temps, un temps qui appartient à chacun, comme tout le monde, mais comme personne d'autre.
Ces gens de terroir, ces gens d’honneur, souvent livrés à eux-mêmes, acharnés à nourrir leur famille et le peuple à travers l’histoire, en des temps réputés si difficiles, ce sont de grandes histoires de simples gens fascinants.
C’est tellement compliqué de rester simple, que je suis subjugué par ceux qui savent le rester.
Alors je vais inlassablement à leur rencontre.
Passent, passent, les hivers blanchissent tout.
La prise de vie comme exutoire.
La photographie ou ces instants indicibles révèlent une émotion lumineuse
qui prend naissance au bout du jour, à la naissance de l'obscurité.
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