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INTIMITE VILLAGEOISE
Implantée au cœur de la vallée de la Risle, elle se situe précisément à la jonction des régions naturelles du Roumois à l'est et du Lieuvin à l'ouest. Pont-Audemer dans l'Eure, attesté sous la forme latinisée ad duos Pontes « deux ponts » en 715, Pontem Aldemari en 1025, Aldemari Ponte vers 1040, Pons Aldemari en 1135 (Orderic Vital), Ponteaudomarus en 1150 (charte de Hugues, archevêque de Rouen), Pons Aldemer vers 1190 (cartulaire de l’Isle-Dieu), Pons Audomarus en 1263.
Gorbio Alpes-Maritimes, est peuplé depuis la fin de la préhistoire, comme l'attestent le produit de fouilles sur un site situé juste au-dessus de l'actuel village et les multiples abris sous roche avec murs cyclopéens répartis sur l'ensemble de la commune. Les objets des fouilles sont exposés au musée de préhistoire de Menton : os divers humains et animaux, tessons de poterie. Le village se déplacera sur son site actuel sous la forme de la commanderie templière d'Agerbol bâtie par le comte Ottone II de Vintimille selon les archives de la cathédrale de Vintimille.
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ROCHEFORT EN TERRE BRETAGNE
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Montcuq dans le Lot. Chez nous en Périgord Vert, on dit souvent: Qui n'a pas vu la Tour de Piégut n'a pas vu Montcuq, non plus.
Un village, une église et ... plus rien qui ne tienne debout.
Le port de Meschers sur Gironde en Charente-Maritime a été aménagé dans la partie orientale de la commune de Meschers, en marge du centre-ville, dans d'anciens espaces marécageux reconvertis.
A l'abri sous les chênes du village.
Lamothe-Fénelon dans le Lot, Causse du Quercy de Gramat, village de 300 habitants.
L'abreuvoir au cœur du village auvergnat d'Anzat le Luguet, point culminant du Cézallier au Signal.
Bonnieux-Lubéron dans le Vaucluse en 6 photos.
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Sour la Roche de Solutré, Solutré-Pouilly, village viticole par excellence.
Bourbon-Lancy Saône et Loire en 5 photos. Cité thermale et médiévale avec son beffroi et ses colombages notamment, son église du Sacré-Cœur de style néo-ogival, construite en 1881.
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En Lozère, dans le Parc Régional Naturel de l'Aubrac, Banassac est un des villages de France qui a colorié sa mémoire.
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Poul-Fétan hameau breton de Quistinic daté de 1850.
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Najac sur son arête rocheuse du château au village au dessus des gorges sauvages de l'Aveyron coulant à son pied.
Qu'il est beau mon village
Et malgré tous mes voyages
Je ne l'ai jamais oublié
Je me souviens on chantait, on criait
On courait sur la grève
Ce que j'en ai fait de beaux rêves
Qui ne reviendront plus jamais
Moi tu sais j'ai changé
C'est le miroir de mon enfance
De mes jeunes années
Avec un peu de chance
Un jour je reviendrai
Je rêvais d'aventures
Quand j'ai sauté la clôture
Je crois bien que j'ai pleuré
Dans la vie j'ai plongé, j'ai mordu
J'ai cueilli bien des roses
Qui se fanaient à peine écloses
Qu'il est beau mon village
Qu'elle est jolie la campagne
La campagne où je suis né
Elle est là, toujours là ma maison
Ma maison ce qu'elle est belle
Je veux mourir avec elle
Mourir avec ma chanson
Qu'il est si beau mon village
Il aura toujours 20 ans
S'envoleront les nuages
Emportés par les vents
J'ai tant besoin de sa présence
J'ai besoin d'oublier
J'ai eu beaucoup de chance
Et j'aimerais aimer.
Extrait de la Chanson de René Simard.
Quand il y avait un feu, il y avait de la vie, c'était hier.
Un petit village de Lozère isolé et quasi déserté en 1986.
Un village ancien de Lozère 1986.
Hameau abandonné en Lozère 1986.
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Sud du Lot, Calvignac dans le causse de Limogne, un des quatre causses du Quercy, dénudé et clairsemé de champs de lavande, de genévriers et de chênes truffiers.
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CORDES SUR CIEL
La cité médiévale de Cordes sur Ciel dans le Tarn, sa vieille horloge, sa halle de schiste et de grès.
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LAGUEPIE Tarn et Garonne
Laguépie en Tarn-et-Garonne, dans le causse de Caylus, au sud du causse de Limogne, occupant une situation de carrefour à la limite du Quercy et du Rouergue, blotti entre les bras de l'Aveyron d'un côté et du Viaur de l'autre.
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Saint-Saturnin en Lozère, 62 habitants nichés dans un cirque dit "Causse de Sauveterre" avec un château datant du début du XIVe siècle, ancien fief royal des Comtors de Montferrand, doté du dernier donjon royal du Gévaudan.
A Quistinic dans le Morbihan, Poul-Fétan un village de 1850.
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Saint-Valéry sur Somme dans la Baie de Somme.
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NAJAC (Aveyron)
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SAINT-VALERY SUR SOMME (Somme)
Saint Valéry sur Somme de briques et de formes.
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CABRERETS Lot
Cabrerets dans le Causse de Gramat en Quercy
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CAYLUS Tarn et Garonne
En Quercy-Rouergue, une tranquille rue de Caylus dans les gorges de l'Aveyron.
CARENNAC Lot
CALVIGNAC Lot
SAINT CIRQ LAPOPIE Lot
Saint-Cirq-Lapopie 1990.
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Baie de Somme, Le Crotoy et Saint Valéry typiquement colorés.
A Vitrac St Vincent comme ailleurs, on comptait autrefois le nombre de maisons et de familles en feux, illustrés l'hiver par les cheminées fumantes.
La Canourgue en Lozère.
Château et village de Saint-Saturnin proche de La Canourgue en Lozère.
Monflanquin, un brin de bastide.
Saint-Cirq Lapopie, sur un méandre du Lot.
Banon dans les Alpes de Haute Provence.
AOC du fameux fromage de chèvre.
Saint-Valéry sur Somme (Somme).
Bréhémont se la coule belle et douce en bord de Loire.
Sens sur Seille en Bourgogne.
Les Halles de Charroux dans la Vienne devant l'Hostellerie Charlemagne.
Solutré-Pouilly au pied de la Roche. Autour, Fuissé, Saint-Amour, Chasselas, Julienas et tant d'autres ...
Bourgogne, si belle et si fruitée.
Saint-Thomé en Ardèche.
Egliseneuve d'Entraigues en Auvergne.
Cézallier, un hameau de Saint Alyre es Montagne.
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ANTRAIGUES SU VOLANE
Antraigues sur Volane le fief de Jean Ferrat. Que la montagne est belle!
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SAINT-MARTIN DE RE
CASSIS
Le port.
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CHATEAU-CHALON Jura
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Lanvaudan.
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Laguiole, cité coutelière.
Marchastel 56 habitants en 2015. Un village qui survit.
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Une quarantaine d'habitants, Torremormojon en Castille et Léon est singulier eu égard à ses pigeonniers monumentaux, en état de délabrement aujourd'hui.
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Solutré en Bourgogne depuis le rocher.
Lourdios-Ichère
Solutré-Pouilly, le sud du vignoble de Bourgogne et sa roche symbolique.
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Château d'Oléron
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Beuvron en Auge
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Lanslebourg-Mont-Cenis Pas du Paradis en Savoie.
Un hameau huppé en Haute-Savoie aux abords de Mégève.
Le village sans prétention s'endort dans son intimité, seul au milieu de ses terres.
Moustiers-Sainte-Marie
Marcillac en Aveyron, un hameau sur le toit.
Dans le Lot, sur la rive de la Dordogne, Carennac.
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COMPAINS Auvergne
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En pente douce de la province espagnole.
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SEGUR LE CHÂTEAU
Village du Limousin, un des plus beaux villages de France.
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LOZERE
Vers Meyrueis.
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Les petits villages avec leurs habitudes, les moyens de locomotion qui sont restés les mêmes, simples mais qui rompent avec l'isolement. Poitou.
Les modestes édifices communaux combinent les services pour conjurer la désertification rurale.
Les villages aiment ancrer leur mémoire aux abords des édifices communaux. Quand la culture existe aussi dans la profonde ruralité.
Les villages ordinaires deviennent extraordinaires par leur simplicité et leur humilité. On y sait rester à sa place, aucune prétention car souvent sa place au cimetière fait aussi partie du paysage. La proximité est facteur de réalité quotidienne et fondatrice d'esprit de raison.
Les hameaux sont en perdition, seul le soleil parcourant les ruelles colore le passé.
Protégé par un bois de châtaigniers adultes, niché près d' une pépinière en devenir, entre champs de céréales nourricières, c'est un paisible village où le temps s'écoule au gré des saisons et de ses couleurs.
L'intimité villageoise est caractérisée par cette humble demeure à l'histoire très récente.
Sur un petit promontoire, entre 2 vallons, Garat.
Les volets mi-clos sont le signe que le résident fait la sieste. Dans cette modeste demeure les rituels existent.
C'est une humble maison, elle a vu y naître 4 enfants, aujourd'hui grands et eux-mêmes parents à leur tour. Evidemment ils ont passé des milliers de fois sous le linteau de cette porte sans volets, au travers des carreaux ils ont vu le jour poindre, quand les parents se levaient tôt pour aller gagner de quoi bien les élever. C'est au travers de certaines valeurs nées de cette observation et des moments de vie qu'ils ont passée ici qu'ils ont voulu les transmettre à leur tour à leurs propres enfants. Mais c'est avec d'autres moyens que cela pourra se perpétuer, si la volonté reste identique.
La vie suit son cours, dans ce village comme ailleurs, mais ici plus simplement et plus doucement qu'ailleurs. Ce qu'on appelle la cave, où on trouve le vin, les patates, les conserves et un tas de choses usuelles, on les trouve avec commodité et habitude. En cœur de village, la vie suit son cours, l'ordinaire est si rassurant.
Il fait beau, un petit moment sur le rebord de la fenêtre à regarder passer les voisins, qui vont et viennent au rythme de la journée du village, la vie quoi!
Lésignac-Durand sur lac de Haute Charente.
Le Limousin est coloré, la pierre et la terre les éléments majeurs.
Le petit tour du village, la rencontre entre voisins, dans les jardins ou les cours, un mot, une blague, la vie quoi!
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La Provence.
Bonnieux dans le Vaucluse, village perché du Lubéron, le clocher de l'Eglise Neuve devant Lacoste, autre village perché, ayant appartenu presque en totalité à Pierre Cardin. Cette église construite entre 1866 et 1870 le fût par des souscripteurs pour remplacer l'Eglise Haute de la commune difficile d'accès par les souffreteux avec ses 86 marches.
Fox-Amphoux, ruelle après ruelle.
Eygalières en Provence.
Cotignac en Provence.
Au port, le village. Le Grau du Roi.
Ce matin dans le Var, j'ai trouvé un village sur une branche!
Eygalières Var.
Saint-Paul de Vence.
Saint-Paul de Vence.
Bras, bourg de Provence.
Les murs peints, autant de rappel à la mémoire ici, quand les petits commerces et l'artisanat meublaient avec bonheur la vie des bourgs et des villages.
Un village de mémoire, aux couleurs rurales culturelles. Carcès.
Tourtour est un village de Provence lumineux. La pierre est fleurie et odorante.
Gréoux Les Bains Provence.
Viviers en Ardèche, quand l' histoire se chevauche.
Courcôme.
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BRETAGNE
Carantec entre Roscoff et l'Océan
Camaret sur Mer.
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ECURAS
La Mairie d'Ecuras depuis la sortie de Chatain-Besson, le gros hameau du village. Typiquement limousin.
Une maison de pays avec cet ancien crépis qui couvre la pierre, encore habitée par quelqu'un qui n'a cure du brillant qui fait mine de modernité et de confort. Le vrai confort pour les anciennes générations c'est l'habitude et les valeurs traditionnelles. Qui peut juger du contraire?
Le Maine Pachou, hameau de verdure de Ecuras, en dessus du Chambon.
Au tout début du printemps, le clocher est encore visible jusqu'à ce que les feuilles des arbres le confinent dans son intimité.
Lesignac-Durand derrière Mas Chaban.
Vous avez le nombre de certificats d'études délivrées ici, dans cette école communale?
Derrière les murs là-bas, la route passe entre la cuisine et la salle de bain. Enfin, on dirait...mais ce ne sont que des vieilles habitations avec une ou deux pièces devenues des remises
Petite demeure très ancienne, si la glycine a poussé comme ça c'est bien que la porte ouvre vers l'intérieur.
Une image anodine et considérablement rurale... Mais pour ceux qui se réveillent en ville avec l'agitation habituelle de l'urbanisme, imaginez vous une fois que en plein hiver, vous vous apercevez que votre voisin est déjà en train de bricoler avec son tracteur depuis belle lurette, et pourtant que vous ne l'avez à peine entendu. Si cen'est le bruit du moteur alors que le coq vous a déjà reveillé depuis une heure mais que vous avez flémmardé un peu encore parce que le carillon de l'église n'a sonné que pour l'angélus de 7h.
C'est devenu triste les hameaux, il faut le reconnaître. Les petites maisons abandonnées sont un crève-coeur. Quand on sait que des femmes et des hommes sont nés là, y ont vécu heureux et appris la vie, la vraie, l'incrédulité s'installe vite, c'est tellement décalé aujourd'hui.
Bois et pierre, depuis des siècles.
Voyez comme la France est belle de sa diversité, même dans le décompte de ses petits villages où la mairie est à la mesure de la densité de la population. Cette intimité est source d'une humanité riche, car multiculturelle et aux aspirations bien différentes. Ces différents modes de vie doivent coexister absolument et laisser des choix multiples aux nombreuses composantes de notre société. Pourvu que ça dure...
Résonnez mâtines, sauvez vous palmipèdes, confits finirez.
C'est une maison modeste mais c'est déjà un toit. Nous vivons une époque où des concitoyens vivent dehors, même quand ils ont un emploi quelquefois. L'alerte est donnée chaque début d'hiver, et les pouvoirs d'où qu'ils émergent s'habituent et font semblant de s'en préoccuper. Pendant ce temps là on culpabilise ceux qui ont encore de quoi vivre au chaud en leur assénant que c'est "LA CRISE", dont sont responsables ces mêmes pouvoirs. Où est la dignité? Elle est sous la semelle du mépris.
Là au bout la petite route, c'est une maison comme une autre mais c'est la mienne. Et dès que je l'aperçois, je sais que je vais retrouver mes petites choses, mes odeurs et mes plaisirs. Mon chez moi, c'est mon intimité, mon petit nid, là où j'ai l'assurance de me sentir bien. Comme tout le monde. Une maison comme une autre. Sans doute pour celle ou celui qui prend ce chemin.
La beauté des villages du Périgord Noir est inimitable. Urval.
Il y a l'échelle ou l'escalier pour atteindre une ouverture bâtie. L'escalier a vécu, l'échelle semble prête à le remplacer bientôt.
De guingois par le temps et le tant, sa couleur apporte de l'affection à la bâtisse qui a donné son âme au temps et au tant.
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Saint Félix, au creux d'un vallon, entouré de labours, la main de l'homme portée à chaque sillon, cultivant sa terre.
Vilhonneur.
Le bois ne peut pas être plus proche, la cheminée rayonne.
Tant qu'ils pousseront leur porte, ce sera mieux que la grande de gauche. Ils en ont tellement vu la franchir de leur pas de porte!
C'est toujours bien d'être prêt à partager avec le voisinage. Et l'accueil est primordial dans les campagnes. Un reste de fraternité et de convivialité. Sans doute...
Une petite maison de hameau simple. Une ancienne fermette réadaptée à une vie de retraité avec des animaux de compagnie plutôt que d'éleveur. C'est le portail rajouté qui le dit.
Grande maison familiale de village, simple et bien distribuée pour 2 voire 3 générations d'une même famille.
Beaulieu, c'est le nom du village. Alors, les habitants s'y baladent et se croisent, leurs petites histoires au coeur des rencontres quotidiennes.
Le four à pain devant la porte, c'est le signe d'une famille nombreuse qui a vécu ici. Autrefois, c'était le grand four pour tout cuire, il était allumé tous les jours.
Le four à pain devant la porte, c'est le signe d'une famille nombreuse qui a vécu ici.
Autrefois, c'était le grand four pour tout cuire, il était allumé tous les jours.
Les lapins n'avaient qu'à bien se tenir.
Petite maison simple. Un auvent pour protéger ses bottes de la pluie quand on rentre pour déjeuner.
A chat perché, le noir confond mais l'oeil trahit.
Un petit recoin de jardin d'agrément en coeur de village.
Plus de commerce, mais une école encore, et un ruisseau clair au bas de la route, c'est calme et si serein ce village.
Typiquement villageois, les éléments sont les mêmes partout, mais disposés différemment. monument, église, place et mairie.
Maison à balet en coeur de hameau, dans l'intimité des pierres.
Un petit pont de bois au travers duquel brille la vie du village.
Les vaches ne vont pas à l'office, il n'empêche que les vaches paissent.
On est pas bien là ? Pour l'éternité. Au creux du petit vallon au bas du village, la vie s'est calée ici, tout près des amis et des voisins, ceux qui constituent le présent, la continuité. Seules les pierres restent, les générations se les partagent, exceptées les tombales sur les têtes des disparus
Au bon accueil.
Saint-Sornin sur vignoble.
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AU PAYS VERT, EN PERIGORD GRANITIQUE,
Hameaux de Busserolles
Nanteuil
A gauche vivait Buffo (en patois) qui allait jouer à la belote les après-midi chez la tante Anna, elle tenait le bistrot épicerie quincaillerie et tout le reste, dans ce hameau d'une petite vingtaine de foyers.
La Ribière
Au dernier printemps, en 2008, le dernier habitant permanent de La Ribière est parti après un nouvel accident de santé. A son âge et courbé comme il était, il avait du mal à rester et effectuer seul les tâches quotidiennes. Il avait vu s'éteindre doucement son village, il voulait absolument tenir le plus longtemps possible. Je m'arrêtais quelquefois lui parler, il étais assis sur son banc entre la porte d'entrée et la fenêtre de la maison au fond de la route que vous voyez et qui va au Poirier et à Nanteuil. J'aimais surtout qu'il me parle de Pierre, mon grand-père, quand il passait devant chez lui pour aller jouer aux cartes chez les Vallade à Trepeix et qu'ils échangeaient queques mots, parlaient de la pluie et du bon temps.
En face il y avait déjà ces anglais avec qui ils s'entraidaient, eux s'enquérissaient de sa santé, lui les familiarisait avec la langue et le Périgord, comme ses vieux amis qu'ils avaient remplacés dans cette maison qu'ils ont dénommés "La Source", là, à La Ribière, où l'eau jaillit du granit un peu partout.
La dépendance de la maison de La Source
Le Poirier
Leymeronie
Trepeix
Les Meynieux.
Le hameau est isolé mais bien abrité, si calme, entre champs et forêt, installé avec précaution.
Clargourt
Petit étang de village à Clargourt
La Barrière
Chez Pépé et Mémé
La ferme est presque à la limite de Haute-Vienne, en plein pays granitique avec les rochers à fleur de pré, fendus de "rigaillous" gardant une humidité salutaire l'été, pour conserver une bonne herbe pour les vaches, le pays des genêts à faire la litière, en autres, le pays aussi des vipères rouges que l'on trouvait facilement quand on gardait les vaches aux "Loges", le chemin le plus long pour aller les faire paître. "Coireaud" et "Les Vergnes", c'était de la rigolade, on y était en 20, 30 minutes. Entre 1960 et 1970, c'était mes vacances à moitié avec mes autres grands parents de l'autre côté de la commune, ceux qui l'un travaillait dans sa loge à faire des cercles, des fagots, des marquants et surtout de la latte, et elle qui était couturière du hameau de Nanteuil.
La ferme du dessus était traversée par une petite route, la partie à gauche avec la maison, la chaudière où la mémé faisait cuire les pommes de terre et les topinambours pour les cochons, on y faisait "marende" (Goûter de 4 heures). L'odeur était tendre et chaude, aujourd'hui belle et aimante comme grand-mère, les poules tentaient d'entrer picorer les patates qui sortaient de la cuve sans doute pour les mêmes raisons, un vrai dessert. La chaudière était au bout du bâtiment, au bord de la route, c'est là que quelques voisins arrêtaient leur vélo pour bavarder un peu. Le hangar devant la maison, en dessus de la mare si mystérieuse à l'entrée du petit potager. Cette mare enfoncée dans sa verdure épaisse, la source captée et identifiée par son bâti circulaire en pierre là où grouillaient têtards et autres bestioles peu visibles mais bruyantes à notre approche, effrayante aussi car si colorée d'épaisseurs végétales que l'on ne voyait pas le fond et on n'imaginait un abîme. Plus haut, derrière le hangar des outils agricoles, le jardin des conserves, haricots, petits pois, et pommes de terre bien sûr, plus grand, plus rébarbatif car à la saison cela signifiait équeuter, écosser, des travaux que je ne goûtais guère. A l'autre bout de la maison le couderc, l'espace où l'on sortait les cochons au pré en fin d'après-midi, en passant par le sentier derrière la maison, c'est le premier plan gauche de la maison, car il s'agit là de l'arrière de la ferme avec son chemin qui mène aux champs du haut. C'est là qu'il existe encore un appentis où mon grand-père faisait une brève sieste sur des sacs en toile de jute derrière la faucheuse qui stationnait là. Plus tard, il changea de site en montant sur la route de Champniers-Reilhac, à seulement 50 mètres, où il faisait son bois l'hiver et où il avait un abri, comme une loge.
A droite de la route il y avait les 2 étables avec la grange au milieu, paille et foin y étaient stockés sur le chambaras pour distribuer directement dans les crèches. C'est là que je tentais de traire à la main comme mon oncle et mon grand-père. Il y avait bien sûr des limousines mais pas seulement, 2 normandes dont je me souviens du nom de l'une, la Brune, les veaux étaient derrière les vaches attachées au mur, et il était impossible d'imaginer les détacher pour les mettre sous la mère tellement ils étaient empressés et puissants. Cette odeur d'étable, de litière souillée et de lait sentait si bon, elle m'est restée aussi. Qu'il y faisait bon l'hiver.
Une cour, et puis un atelier, une espèce de forge pour réparer le matériel mais aussi un pressoir à vin et un autre à pommes qui ne fonctionnait plus depuis longtemps, personne ne fréquentait vraiment ces petits bâtiments en été. A l'extrême droite au premier plan, ce sont les toits à cochon, 2 ou 3 animaux qui faisaient un peu peur, la corpulence et le grognement ne m'invitaient guère à m'approcher dans mon plus jeune âge. Seule la responsabilité de mener les gorets au couderc m'obligeait à surmonter ma réticence, j'ouvrais et reculait vite, ils connaissaient le chemin, une trentaine de mètres tout au plus.
Au coin des toits à cochons, le sentier faisait le tour des étables des vaches par l'arrière et allait chez le seuls voisins avec qui la famille était fâchée, les terres et les intérêts mitoyens avaient fait leur oeuvre. A l'entrée de ce sentier tout en bordure, un noisetier inoubliable, qui aujourd'hui encore me fait planter cet arbre à chaque terrain où je puisse le faire, c'est vrai. Le goût des noisettes fraîches m'est resté de cette époque extraordinaire, parce que c'était l'enfance insouciante, toute une famille harmonieuse, avec toutes ses composantes, cela dure environ une quinzaine d'années en général, avant d'endurer les premières disparitions. J'avais même un arrière grand-père qui sortait un morceau de chocolat noir de son tiroir en bout de table quand j'allais le saluer dans la partie haute de la maison, là où mon oncle et ma tante, qui ont continué l'exploitation de la ferme, ont pris place à sa disparition, laissant les grands-parents dans la partie centrale de l'habitation.
Un peu comme les terres et leurs cultures, les générations s'inter-changeaient l'habitat au gré des générations et du chef d'exploitation si j'ose dire, puisque c'est le fils de la ferme qui reste qui occupe le dernier espace occupé par le disparu le plus récent. De fait, là encore, c'est un témoignage du dernier exemple en la matière, d'abord parce que cette ferme était si petite que personne ne peut en vivre aujourd'hui, et puis mon oncle n'a eu que ma cousine germaine, qui s'est destiné à d'autres projets de vie que l'élevage et la culture harassante des terrains granitiques du Périgord Vert.
Je me souviens des après-midi que nous passions à mener les vaches aux prés, de ses premiers émois d'adolescente précoce, beaucoup plus qu'un garçon comme moi, d'autant qu'elle avait un an de plus, quand elle écoutait à la radio le hit parade et chantait à tue-tête "Que je t'aime" en duo avec Johnny au transistor Radiola, qu'elle sortait devant la maison seulement, pour ne pas l'abimer, à l'heure du retour de garder les vaches.
Mon grand rêve, je le réalisais assez tard dans l'âge, quand enfin on m'autorisa à conduire les 2 limousines attelées tirant la charrette gorgée de foin, ces bêtes qui répondaient au doigt et à l'oeil, enfin plutôt à l'aiguille, ce long bâton que l'on tapait au milieu du joug pour leur rappeler d'être attentives au chemin qu'on leur montrait de prendre. C'était autre chose que de ramasser chaque épi de blé derrière la faucheuse ou quand on chargeait les gerbes. Le meilleur et le pire pour moi, mais le meilleur ne dura pas longtemps, le premier tracteur arriva, ce fût quand même une attraction et une source d'intérêt, mon grand-père avait déjà disparu, victime d'un accident qui dégénéra en lui faisant monter un caillot de sang au poumon, une lourde roue en fer de la faucheuse lui était tombée sur le pied e la démontant, provoquant un hématome mal soigné en pleine moisson. Et ce ne fût jamais plus comme avant.
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Le Fraysse
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Bussière-Badil
L'Etapeau
TEYJAT
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VILLAGES LIMOUSINS
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BEAUSSAC
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Petit commerce à Sarran en Corrèze
Photo jcl
Petit rendez-vous de service, un lieu de dialogue.
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En Pays Horte et Tardoire,
au gré des villages.
Derrière les pierres, dans les pierres,
la vie se réchauffe, s'embrase et s'eteint.
Des volets clos au fond de cette courette, des familles sont passées,
des vies se sont passées, des coeurs se sont embrassés,
au coeur des villages, au coeur des pierres.
Bouteville.
Des petits gestes habituels sur des couleurs familières,
des objets divers mais usuels déposés là, c'est l' éducation des mains
et d'avoir appris quelque chose, autrefois.
D'avoir collé des pierres pour se protéger et s'abriter,
naît la couleur de son champ de vision
issu de ce qui se déroule chaque jour sous ses pieds.
C'est une très belle scène villageoise, très commune dans la ruralité et très rare en ville. Tout le charme est là. Des gens qui se connaissent depuis toujours et qui chaque jour trouvent de quoi parler. Des gens qui se respectent en tout cas, des gens qui aiment à se retrouver, à vivre ensemble.
C'est à pierres feutrées que l'on arrive sur le sentier, et on y découvre au dessus de la murette la petite demeure pleine de charme.
Ecole des garçons où les filles sont préservées des premiers quolibets, des méchancetés enfantines. Mais la vie d'adulte les rapprochera plus tard d'une belle pléiade de petites cruautés bien senties.
Le belle petite église du village si petit qu'elle doit attendre que le seul cantonnier trouve un peu de temps pour faire sa toilette. Mais les herbes folles lui vont si bien, et donnent beaucoup de relief à sa belle architecture.
Tout les abords du bourg sont construits de maisons neuves. La brique et le parpaing ceinturent le vieux bourg de pierre naturelle. C'est quasi général, partout.
Jardin en escalier, campée sur son rocher, c'est une ferme fortifiée qui n'a plus de salut à l'être encore aujourd'hui. Ce qu'elle fortifie, c'est le patrimoine et l'histoire locale.
Village varois qui donne sur la Méditéranée, site extrêmement prisé où il faut un peu d'épargne pour acquérir le droit d'y séjourner de quelque manière que ce soit. Situation privilégiée pour ces merveilleuses régions du Sud de la France.
Rien ne dépasse, les pierres taillées comme des légos sont empilées pour former ce village. De grands enfants soigneux ont donner leur coeur pour une telle oeuvre. Les bâtisseurs.
Une petite école de village...fermée...comme tant et tant d'autres! Les filles d'un côté, les garçons de l'autre!
Petite mairie "colorado".
Ici le château ne domine pas. C'est sur les toits du village et du clocher de l'église que l'on peut apercevoir le seigneur!
Les bâtiments communaux ne payent pas de mine. C'est justement pas ça leur devoir. Le service doit primer.
Cette école n'est pas celle d'un village, c'est celle d'un hameau limousin, comme il en existait quand elle réunissait plusieurs lieux-dits d'une commune quand il y avait des enfants en nombre.
PIERRE-BUFFIERE Haute Vienne
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Villages Varois.
BLESLE Haute Loire
Au cœur du village.
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Saint Tropez Rose Bonbon.
A la sortie du village, une maison austère, au granit gris, plate mais imposante, abandonnée tant le confort semble inaccessible.
Les ruelles sont encadrées par des bâtis imposants et historiques.
Quelques couleurs de volets pour distraire les nuances de gris des façades. On est à Blesle en Haute Loire, un homme extrêmement coloré habite la bourgade, c'est Gérard Klein, revenu à la tête de son Hôtel-Restaurant La Bougnate. Blesle est néanmoins chargée d'histoire avec un patrimoine exceptionnel que l'on admire au fil des ruelles.
1989, les femmes font le cochon, au lavoir du village, en Périgord Noir.
Petit village du Périgord Noir, magnifique avec ses maisons de pierre ocre. Il y avait un boulanger unique, Rentet, au caractère fort mais humain. Son village lui ressemble, avec l'humilité qui le caractérisait.
Saint Germain de Confolens.
Saint Germain de Confolens.
Le monde des uns est beaucoup plus long que celui des autres, il fait partie de la vie, parce qu'on la doit bien à quelqu'un. Le respect est la principale qualité quand la mémoire est de tous les grands moments, au cœur de nos repères.
L'esprit à la fête en Périgord.
Une douce lumière enrobe l'humble demeure avant que ce jour n'appartienne plus au présent. Elle s'arrimera à la nuit, jusqu'au jour, quand la porte ouvrira, un nouveau quotidien s'éclairera.
Compains Auvergne, Février enneigé.
Les abords du village de Vouzan en Charente. Souvent, quand on évoquait le sport et les supporters de cette commune, on les imaginait crier: "Allez Vouzan", "Allez Vouzan", Allez. Voilà pourquoi ils n'ont jamais pu avoir d'équipe.
Cela dit ce village a de belles pierres.
Une grande serve au cœur du hameau, un bol d'eau.
Une belle source et un lavoir bien conservé. Un lieu si vivant et de lien social autrefois.
Dans nos campagnes, comme on dit certains villages semblent désertés. Ici, il n'y a pas loin d'y trouver la cause. Voyage aller seulement avec les transports Robichon!!!
Le sentier des pas de portes au Cruzeau.
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PIERRE-BUFFIERE 87
Les villages et La France ont été sauvés par des combattants qui ont leurs monuments à leur mémoire dans chacun d'entre eux. L'approche du 11 Novembre et l'année 2014 marque le centenaire de la Grande Guerre où pas moins de 9 millions de morts et 20 millions de blessés furent dénombrés dans cette boucherie humaine.
L'oubli est effectivement néfaste pour toute société, la mémoire étant par opposition une des principales qualité de chacun d'entre nous pour vivre dans une meilleure harmonie sociale.
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LA TESTE OCEAN
BRETAGNE
Saint-Côme, blotti là dans son creuset, et puis l'Océan Atlantique si immense, si démesuré.
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ATLANTIQUE
ILE DE RE
Saint-Martin de Ré.
Une ruelle à La Couarde sur Mer Ile de Ré.
Un village aux rues étroites. Les Portes en Ré.
Crépuscule sur le port. SaintMartin de Ré.
Les Portes en Ré.
Rue de Terroirs, Identité rurale. Sainte Marie de Ré.
Hors saison aussi les vélos inondent l'Ile de Ré.
Il y a toujours des municipalités qui aiment à rappeler le fondement de la république dont elles sont issues.
La Couarde sur Mer.
Château d'Oléron.
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